La nouvelle inquisition par TSM

Catégories : Femmes soumises SM camisole
il y a 3 ans
La nouvelle inquisition est une histoire érotique où le Maître pratique la question à une femme soumise rebelle.
  • Cachez ses yeux de sorcière, elle ne doit pas utiliser ses pouvoirs pour essayer de nous leurrer ! A dit l’inquisiteur quand ils sont venus me chercher dans ma cellule.

C’est donc les yeux bandés et mains liées, que j’ai été conduite dans le dédalle de salles de cette ancienne caserne militaire, restaurée et transformée à grand frais, en un hôtel très particulier. A l’avant il y a un ancien blockhaus, à l’arrière les bâtiments fortifiés portant encore les blessures de la dernière guerre.

La « chambre » qu’il m’avait attribuée est une véritable cellule avec une épaisse porte en acier. La seule variable avec une véritable prison est un interphone caché sous la couchette. Bien que ce soit une cellule d’où il est impossible de s’échapper, de gros anneaux d’acier sont fixés dans les murs et autour de la couchette.

A ce moment là, j’avais peur, je me maudissais d’avoir signé le contrat de ce stage BDSM inquisition. Il y était mentionné qu’une fois le stage démarré, je ne pourrai pas revenir en arrière. Certes il m’avait jurée et l’avait écrit, je rentrerai chez moi vivante et en bonne santé.

« Vous serez en immersion totale dans une reconstitution de scènes de l’inquisition. Rien ne vous sera épargné, tout pourra vous être imposé si vous résistez. Votre vie ne sera jamais mise en péril, les conditions d’hygiène seront parfaites. Vos effets personnels seront sécurisés, ils vous seront restitués la fin du stage. Vous pourrez alors vous reposer sur le site, jouer les voyeuses si vous le désirez ou vous prélasser au bord de la mer comme une touriste ».

Sur Fessestivites, ce Maître avait deux pages d’évaluations positives. « Effrayant mais merveilleux » est ce qu’il en sortait. Le nombre de « j’aime » était aussi impressionnant. Ce Maître n’acceptait en « ami » que les personnes effectivement rencontrées. Il avait refusé de valider ma demande en m’expliquant que le site de ce réseau n’est pas facebook. Que les amitiés devaient être concrètes, sans quoi, cela n’avait aucun sens.

J’avais été un peu vexée que moi, la femme qui était certifiée et avec qui il avait discuté plusieurs fois par téléphone, ne puisse entrer dans « son clan ». La courtoisie de cet historien cultivé était proportionnelle à la fermeté que l’on sentait dans toutes les conversations.

Et là, je suis en route vers l’inconnu effrayant, guidée par deux hommes me tenant fermement par les bras. Ma tenue est une sorte de panty bouffant en guise de culotte et une robe de prisonnière, enfin on dirait plutôt un sac avec deux trous pour les bras. Le haut s’attache sur les épaules et non pas derrière ou devant.

Maître inquisiteur n’avait pas pu se retenir de me faire un petit cours d’histoire quand il m’avait emmené mes « nouveaux vêtements ».

Au moyen âge, pas de petite culotte pour les femmes. Elles ne portent rien sous leur robe et se baignent nues. La pudeur n’existe pas. Quand le port d’une chemise blanche sous leurs vêtements fait son apparition, c’est pour les protéger de la transpiration et diverses sécrétions. En effet, la chemise blanche présente l’avantage de pouvoir se nettoyer dans de l’eau bouillante et retrouver sa blancheur. Seules les filles de moins de 14 ans mettent une sorte de panty bouffant en guise de culotte. À l’entrée de l’a d o l e s c e n c e, il faut l’enlever. La découverte de ce vêtement se démocratise au fil du temps et devient un élément de séduction à part entière.

La première femme à porter une culotte, fut Catherine de Medicis, née le 13 avril 1519 à Florence . Comme elle aimait monter à cheval, elle portait des caleçons sous ses robes pour être plus à l’aise. En revanche, toutes les femmes de la cour, les bourgeoises et les femmes de petites conditions vivaient les fesses libres de toutes contraintes.

  • Attention madame, nous allons descendre des escaliers. N’ayez pas peur, nous vous tenons !

Oh mon dieu, qu’ai-je fait en venant ici me jeter dans la gueule d’un loup du BDSM ? Aidée par mes fantasmes, ma passion de l’inquisition a gommé ma prudence. Je n’aurai jamais du contacter cet homme, ni même m’inscrire sur Fessestivites. Qu’elle conne ! Je suis aux pieds du mur de mes délires intimes, sans aucune possibilité de fuite.

Ma fierté me pousse à me rebeller ! Il va voir qui je suis, que je ne suis pas une mauviette ni une faible femme. Je ne peux être soumise qu’à un homme que j’aime, s’il rêve de me briser il se met le doigt dans l’oeil.

Je sens que nous entrons dans la salle où je suis attendue. Il fait bien plus chaud que dans les immenses couloirs de béton. Soudain, je sens qu’on accroche quelque chose aux cordes liant mes poignets dans mon dos. Quand ils se mettent à le remonter, je n’ai pas d’autre choix que de me pencher en avant.

  • Avoue que tu es une catin et que tu couches avec les hommes pour de l’argent avant de les envoûter avec tes sortilèges !

Quoi, que j’avoue être une pute ? Une sorcière pour le jeu je veux bien, une pute, jamais ! Je leur répond que c’est faux, que je ne suis ni une catin, ni une sorcière !

  • Combien de fois par jour te masturbes-tu sous ta robe en regardant des hommes pour les attirer dans tes filets sorcière ?

  • Jamais !

  • Autre question. Te mets-tu des légumes dans les orifices avant de les faire manger dans une cuisine trompeuse à de pauvres hommes innocents ?

  • Jamais ! Des légumes, ça va pas la tête ? De nos jours il y a des sextoys banane !

  • Vous voyez messieurs, elle utilise des choses que personne ne connaît. Cette femme a le diable en elle, c’est évident ! Il m’a été rapporté que tu as couché avec vingt-deux hommes ce mois-ci et qu’ils perdent la tête et ne rêvent que de te lécher les pieds et le fondement. Avoue au moins ça, catin !

  • Jamais !

  • Bien, dommage pour toi, nous allons devoir passer à la question mais aussi tester ton corps !

Soudain, je sens qu’on détache le haut de ma robe, mon premier réflexe est d’essayer de fuir les mains voulant me dénuder, le deuxième de donner des coups de pieds pour repousser l’assaillant. Mes réflexes de défense les font rire, la haine. Ils s’attendaient à quoi, à ce que je me laisse faire ? Un coup s’abat sur mes fesses, une cravache ou un canne, je ne sais pas, mais cela fait mal. En me redressant j’ai donné accès au haut de ma robe, l’enfoiré a tiré sur la cordelette, la dernière, celle qui retenait encore ma robe.

Un claquement me fait bondir de peur. Je reconnais immédiatement l’instrument, c’est un fouet, il n’y a qu’un fouet qui fait se bruit là. J’ai regardé assez de vidéo pour le reconnaître, cet instrument me terrifie. Un coup de fouet vient claquer sur mes fesses encore recouvertes, en bougeant je fais glisser le haut de la robe, mes seins sont maintenant à l’air libre. J’espère qu’ils vous plaisent messieurs et si vous croyez que c’est ça qui me mettra dans l’embarras, vous vous mettez encore le doigt dans l’oeil.

Le fouet cette fois vient percuter ma poitrine, je n’ai pas eu mal, juste très peur. En bougeant j’ai encore fait glisser ma robe. Ces enfoirés s’amusent à faire un Strip Tease, original, vue que je suis attachée mains dans le dos avec les bras remontés vers ma nuque. Au coup de fouet suivant, la lanière s’est enroulée autour de ma taille pour finir sa course sur mes fesses. Si cela pique finalement qu’un peu, cela vient d’achever mon effeuillage, la robe vient de chuter sur mes pieds. Mais que font-ils, l’un d’eux tient mes jambes serrées, un autre en profite pour lier mes chevilles. Les rats ont profité que je ne les vois pas et ne peux me défendre.

  • Alors catin, avoue que tu as couché avec des hommes pour de l’argent avant de les envoûter avec tes sortilèges !

  • Jamais, je ne suis pas une pute !

  • Cette sorcière utilise des mots inconnus. C’est pour essayer de nous envoûter, heureusement que ses yeux sont masqués, sans quoi nous pourrions subit les effets de sa sorcellerie.

C’est vrai, le mot « pute » n’existait pas à cette époque. Je m’enfonce et fait leur jeux. La haine !

  • Voyons voir si tes tétines sont aussi des armes d’envoûtement !

Celui qui a lié mes chevilles me tient par la taille, j’essaye de le pincer. Mais aie, Maître inquisiteur vient d’entrer en action et s’amuse avec mes tétons. Je sens bien qu’il ne cherche pas à me faire mal, il les fait juste rouler agréablement sous ses doigts. Ce rat sait y faire, cela commence à me faire des fourmis dans le ventre.

  • Vous voyez messieurs, ses tétons pointent ! J’avais raison, elle s’en sert pour envoûter les hommes en les faisant plonger dans leur prime jeunesse, à l’âge où ils tétaient le sein de leur mère.

Le rustre, il me fait les seins avec délicatesse et s’étonne qu’ils pointent. J’y suis très sensible, cela ne pouvait pas être autrement, sadique.

  • Il conviendra de les lui couper avant de la conduire au bûcher. En attendant nous allons nous en protéger avec les pinces anti démon.

Les couper ? Ca va pas la tête ? Lorsque je sens qu’il essaye d’y poser des pinces, je me débats comme une furie. Même si je suis ceinturée par son acolyte, il n’y arrive pas. Et oui monsieur, je suis une rebelle.

  • Elle est charmante quand elle agite ses mamelles, il convient d’adapter la position pour qu’elle nous les présente mieux pour l’observation.

L’homme me ceinturant me relâche, quelques instants plus tard, je sens mes bras remonter vers le plafond. Pour ne pas souffrir des épaules, je n’ai pas d’autres choix que de me pencher en avant. Et là, on me soulève par la taille et on me pose sur quelque chose. La corde tirant mes bras remonte encore un peu mais on me sécurise pour que je ne tombe pas.

  • Te voilà dans une situation délicate. Tes pieds sont posés sur un plot. Si tu te débats, tu glisseras et ne seras maintenue en l’air que par les bras. Je te préviens c’est horriblement douloureux. Nous allons te lâcher, je te conseille de ne pas bouger pendant l’observation de tes tétons maléfiques.

Effectivement, la position est déjà très inconfortable, si je tombe je risque de me déboîter les épaules. Je n’ai pas d’autres choix que d’abdiquer et de le laisser jouer avec mes seins. Avec patience et pire, délicatesse, il étire mes tétons et y pose des pinces. Il les ajuste et les serre sans que cela ne soit trop douloureux. Une fois qu'elles sont posées, ils détendent la corde remontant mes bras puis me soulèvent pour me reposer par terre.

  • Bien, il est temps de les observer pendant que tu fais la danse de Sabbat (sorcière) sans ton balai.

Je comprends que ce rustre cultivé avait tout prévu quand il met « Le Sacre du printemps d'Igor Stravinsky ». Cette musique est hors époque mais quand même bien trouvée. Dans la position où je me trouve, je contiens mon envie de lui dire qu’il y a des siècles de décalage. Je suis sûre qu’il le sait et que c’est un piège. Hé, hé, soumise mais pas conne. En guise d’instruments complémentaires pour la danse des sorcières, c’est le fouet qui m’invite à danser. Et là stupeur ! Quand je bouge, mes seins font de la musique ! Il m’a posée les fameuses pinces à sein clochette d’ABCplaisir.

Le fouet n’arrête pas de s’enrouler sur mon corps, cela commence à piquer. Mes fesses semblent aussi être une cible sur laquelle il essaye de faire des dessins. Il utilise plusieurs fouets puis deux martinets. Les coups pleuvent sur mon corps sans être très méchants, pendant longtemps. Je commence à perdre la tête avec toutes ces sensations perturbantes. Cela pique mais ce n’est pas désagréable, ne pas les voir venir ne me permet pas d’anticiper, ma tête commence à tourner, je sens que si cela continue longtemps je vais tomber, me pendre par les bras.

La musique s’arrête, les fouets aussi. On me donne à boire, je bois sans méfiance avant de réfléchir. Lentement il retire les pinces de mes tétons, je les avait presque oubliées.

  • Avoue que tu es une catin et que tu couches avec les hommes pour de l’argent avant de les envoûter avec tes sortilèges ! Combien de fois par jour te masturbes-tu sous ta robe en regardant des hommes pour les attirer dans tes filets sorcière ?

  • Jamais, je ne suis pas une pu.., catin !

  • Avoue que tu te mets des légumes dans les orifices avant de les faire manger dans une cuisine trompeuse, à de pauvres hommes innocents ?

  • Jamais je n’ai fait ça !

  • Nous allons devoir observer tes attraits envoûtants.

Ils libèrent mes chevilles pour y fixer autre chose. Épuisée je ne me rebelle plus, de toutes les façons, je ne peux plus fuir. Que me réserve t’il à présent ? Mes jambes sont écartées, je sens qu’on y met une barre pour m’empêcher de les resserrer. Mes poignets sont libérés, ouf merci, mes épaules commençaient à me faire mal. Je me doutais bien qu’ils ne resteraient pas longtemps libre. Des bracelets leur sont posés, mes mains sont aussi écartées par une barre qui les fait remonter. Je suis maintenant debout avec les bras et les jambes en X.

Maître inquisiteur se plaque contre mon dos, pose ses mains sur mes hanches en murmurant à mon oreille qu’il finira par me faire avouer tout ce qu’il veut. « Même pas en rêve » fut ma réponse. Toujours avec délicatesse, il fait glisser ses mains de mes hanches à mon ventre. « Tu sens bon la gueuse » le dit-il en insinuant ses doigts sous le panty. Avec une certaine lenteur, pour me faire peur ou générer une envie, je ne sais pas, il s’approche de mon sexe, Je sens qu’il écarte mes lèvres intimes d’une main.

  • Je dois voir si c’est mouillé, ce sera une preuve de plus ! Me dit Maître inquisiteur en faisant glisser un doigt tout autant inquisiteur !

Évidement que je suis trempée, il a tout fait pour m’exciter ! Son majeur n’a pas à f o r c e r pour se glisser en moi. Comment cela pourrait être autrement ? Il tape dans mes fantasmes et s’étonne à grands cris que je sois mouillée !

  • Nous avons la preuve messieurs que c’est une catin, quand on la touche, elle libère des sucs ensorcelants. Sentez vous même si besoin est de vous convaincre !

Oh le rustre ! L’envie de le mordre me vient, il a du le sentir venir quand j’ai approché mes dents de son cou.

  • Avoue que tu te mets des légumes dans les orifices avant de les faire manger dans une cuisine trompeuse à de pauvres hommes innocents ?

  • Jamais !

  • Messieurs, nous n’allons pas avoir d’autres choix que de lui faire subir le supplice du pal. Emmenez le tonneau.

J’entends de drôles de bruits, effectivement c’est une sorte de tonneau qu’ils placent entre mes jambes. Cela m’oblige à les arquer. Le rustre retire mon panty se nouant sur les côtés puis m’oblige à m’asseoir sur un gode qu’il guide en moi. Mes jambes sont aussitôt assujetties par des courroies, il ne me sera pas possible de me relever, d’échapper au pal. Je commence à me sentir honteuse d’être empalée devant des hommes. Le pire est que je ne sais même pas combien ils sont à assister à ce jeu de fou.

Soudain, le gode s’anime en moi. Il vibre, il me semble aussi tourner et bouger. Ouf, ce n’est vraiment pas désagréable son truc. Il faudra que je m’en trouve un pour mes soirées solitaires. Sans me prévenir, on m’oblige à me pencher en avant. Un doigt gras s’insinue entre mes fesses pour me lubrifier l’anus qu’il visite au passage. Un autre gode plus petit glisse en moi, on me tire ensuite en arrière pour me plaquer dessus et le loger profondément dans mes reins. Deux autres sangles sont posées, et lui aussi se met à vibrer. C’est très perturbant devant du monde.

Il est clair que Maître inquisiteur veut me faire jouir, devant quelqu’un cela risque d’être difficile. L’arme fatale ne tarde pas à rejoindre les deux sextoys, je la connais bien, j’en ai un, c’est un gros magic wand massager. Il s’assoit derrière moi sur le tonneau et entreprend de titiller mon petit bouton des plaisirs pendant que l’un d’entre eux fixe le magic. Une fois qu’il a les mains libres, Maître inquisiteur s’attaque à mes tétons. Je vibre dedans devant et derrière, mon chaton semble visité par son engin de mort, cela devient divin. Ses mains accompagnent mon plaisir sur mes seins, je sais de suite qu’il va gagner et me faire jouir. Je ne pourrai pas résister à tout ça, je ne veux pas résister à tout ce plaisir non plus.

Ma honte s’envole, je me relâche et bouge même un peu toute seule pour mieux m’empaler. Hélas, mes mouvements sont limités à quelques petits centimètres. Dans cette ambiance, tout ce que j’ai vécu et ce que subit mon intimité comme harcèlement cela ne peut que gommer ma pudeur. Il ne faut pas longtemps pour que je sente ma jouissance arriver. Je ne cherche pas à la fuir, je la désire. Être entravée pour jouir m’a toujours libérée de la bonne conscience, et là, je sens que cela va être grandiose.

J’implose, j’explose, mon corps semble devenir fou et tremble de partout. Je crie sans retenue alors que ce n’est pas ma façon d’être, mais c’est si fort que cela ne peut être autrement. Et là, je comprends de suite comment il va me faire avouer tout ce qu’il veut. Pourquoi ? Parce que ses instruments de mort par le plaisir ne s’arrêtent pas !!!!!!

J’en suis réduite à le supplier, moi la rebelle de service, je supplie un Maître. Les jouissances s’enchaînent, me laminent, me rendent folle. Elles s’enchaînent de plus en plus vite, elles sont de plus en plus fortes, c’est inhumain de faire ça à une soumise.

  • Avoue si tu veux que j’arrête ou je te laisse attachée dessus cette nuit.

  • Non, je veux pas ahhhhhhhh non, c’est trop fort, je vous en supplie ahhhhhhhhhh

  • Avoue que tu es une catin et que tu couches avec les hommes pour de l’argent avant de les envoûter avec tes sortilèges !

  • Oui oui j’avoue arrêtez ces trucs ahhhhh

  • Combien de fois par jour te masturbes-tu sous ta robe en regardant des hommes pour les attirer dans tes filets sorcière ?

  • Dix fois vingt fois, pitié arrêtez ces trucs

  • Et les légumes, tu préfères les gros navets ou les carottes ?

  • Les deux, pitié arrêtez ces... AHHHhhh.....

Lorsqu’ils arrêtent les sextoys, mon corps continue de trembler, j’ai des convulsions incontrôlables. Une fois libérée des entraves, je suis portée sur une table et enroulée dans une couverture. Je fonds en larmes, pourquoi je n’en sais rien, mais cela me fait du bien de pleurer. Maître inquisiteur me tient la main, caresse mon visage comme si j’étais un bébé ou en train de décéder. Il me faut au moins vingt minutes pour reprendre un peu mes esprit et ne plus avoir de contraction. Il me donne un biberon d’eau, c’est une bonne idée car au verre ou à la bouteille, je ne serais peut-être pas parvenue à boire sans m’étouffer ou en reverser.

  • Bien, quand tu seras un peu remise de tes émotions, maintenant que tu as avouée, tu vas être condamnée et exécutée.

  • Comment ?

  • Après ta sieste tu seras condamnée à dîner à ma table ce soir.

  • Puis-je faire appel ?

  • Oui bien sûr, mais on recommence tout depuis le début !

  • Ne me tentez pas !

Fin

TSM

Même pas peur. Heu, si un peu quand même ! Merci pour ce très beau texte qui fait des choses.
C'est chaud chaud cette histoire. Cette histoire d'inquisition moderne est aussi originale que perturbante.
Bravo pour ce texte très chaud! Et qui donne envie.....
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